LA SAISON 2 ARRIVE !
EN ATTENDANT, RETROUVEZ LES ÉPISODES DE LA SAISON 1.
Synopsis
Trois destins se croisent et se lient sur les routes de Bretagne, dans un road-trip vers le passé et l’avenir. Contrainte de conduire le jeune Klet dans une course-poursuite contre son demi-frère, Marie, femme d’affaires au couple brisé, se découvre un autre compagnon de route en la personne de Fañch, un vieil homme avec sa mystérieuse boîte à biscuits sous le bras…
Casting
Nolwenn Korbell (Marie)
Originaire de Douarnenez, bretonnante de naissance, elle mène, depuis ses études au Conservatoire d’Art Dramatique de Rennes, une belle carrière de chanteuse, comédienne, auteur et compositeur.
En 1997, elle fait ses débuts au cinéma dans le film An Enez Du, de Maria Hélia. Après avoir vécu entre le Pays de Galles et la Bretagne de 1990 à 2000 et chanté dans le groupe folk-rock « Bob Delyn a’r Ebillion », et comme soprano au sein de l’ensemble « Arsis Théâtre Vocal », elle rentre définitivement en Bretagne pour réaliser en 2003 son premier disque « N’eo ket echu » (Coop Breizh).
Originaire de Douarnenez, bretonnante de naissance, elle mène, depuis ses études au Conservatoire d’Art Dramatique de Rennes, une belle carrière de chanteuse, comédienne, auteur et compositeur.
En 1997, elle fait ses débuts au cinéma dans le film An Enez Du, de Maria Hélia. Après avoir vécu entre le Pays de Galles et la Bretagne de 1990 à 2000 et chanté dans le groupe folk-rock « Bob Delyn a’r Ebillion », et comme soprano au sein de l’ensemble « Arsis Théâtre Vocal », elle rentre définitivement en Bretagne pour réaliser en 2003 son premier disque « N’eo ket echu » (Coop Breizh).
Quatre autres albums suivront, et Nolwenn Korbell s’impliquera de plus en plus sur la scène bretonne, participant à de nombreux festivals. Au théâtre, elle a travaillé pour les créations de « La Chaise de Paille » et « Marilyn en Chantée » de Sue Glover et signé la réalisation musicale de « La Fontaine aux Saints » de John Millington Synge.
En 2011, elle joue dans Doc Martin, sous la direction de Stéphane Clavier.
En 2012, 2013 et 2014 on la retrouve dans les spectacles « Maître Puntila et son valet Matti » de Bertolt Brecht, et « Cabaret Brecht » mis en scène par Guy Pierre Couleau pour le Centre Dramatique National d’Alsace. Elle joue et chante dans « L’Opéra de 4 sous » de Bertolt Brecht et Kurt Weill mis en scène par Jean Lacornerie, directeur du Théâtre de la Croix Rousse à Lyon.
En 2014, on la retrouve au cinéma dans « An dianav a rog ac’hanon », un court-métrage réalisé par Avel Corre.


Kaou Langoët (Klet)
Originaire de Brest, Kaou Langoët est une personnalité à plusieurs facettes : chanteur et tromboniste dans le groupe de punk-rock Gimol Dru Band de 2008 à 2012, il est également un passionné de hula hoop et de danse.
Il se forme à l’écriture de scénario et co-réalise un court-métrage en 2008 avant de suivre, de 2014 à 2015, les cours de coaching vocal de Michael Montero, conjointement à sa formation à l’école Actors Factory, qu’il termine en 2016.
Originaire de Brest, Kaou Langoët est une personnalité à plusieurs facettes : chanteur et tromboniste dans le groupe de punk-rock Gimol Dru Band de 2008 à 2012, il est également un passionné de hula hoop et de danse.
Il se forme à l’écriture de scénario et co-réalise un court-métrage en 2008 avant de suivre, de 2014 à 2015, les cours de coaching vocal de Michael Montero, conjointement à sa formation à l’école Actors Factory, qu’il termine en 2016.
Dès 2015, il apparait dans plusieurs courts-métrages, dont Les Apaches, de Maria Hermelin, mais c’est dans Lann Vraz, de Soazig Daniellou qu’il trouve sa première apparition au cinéma.
La même année, la réalisatrice Pascale Breton l’engage pour le rôle principal du long métrage primé Suite Armoricaine.
En 2016, il est repéré par Nicolas Leborgne pour tenir le rôle de Klet dans FIN AR BED.
Roger Stéphan (Fañch)
C’est de lui-même que, très jeune, Roger Stéphan insiste pour que les anciens du village lui parlent en breton.
Il obtient son BAC dans un lycée jésuite de Nantes et entre dans une école hydrographique (l’équivalent aujourd’hui de l’Ecole Nationale Supérieure Maritime), et devient marin.
Il parcourt le monde sept ans durant dans un équipage majoritairement bretonnant, après quoi il entre comme ingénieur dans le papeterie de Cascadec, dans laquelle la majorité des ouvriers parlent également breton.
C’est de lui-même que, très jeune, Roger Stéphan insiste pour que les anciens du village lui parlent en breton.
Il obtient son BAC dans un lycée jésuite de Nantes et entre dans une école hydrographique (l’équivalent aujourd’hui de l’Ecole Nationale Supérieure Maritime), et devient marin.
Il parcourt le monde sept ans durant dans un équipage majoritairement bretonnant, après quoi il entre comme ingénieur dans le papeterie de Cascadec, dans laquelle la majorité des ouvriers parlent également breton.
En 1977, il rencontre Ivon Craff, qui fonde le Cercle Kervarker, une troupe de théâtre bretonnante dans lequel il joue avec Noémie Le Bris. La troupe se produit, entre autre, à Belle-Ile devant Fançois Ceyrac.
Repéré par Pierre Le Flao, ils partent à Rennes filmer leurs sketches qui seront diffusés dans les émissions bretonnes de France 3.
C’est dans Dies Irae, en 1982, qu’il fait sa première apparition au cinéma en breton. S’en suivra « Yec’hed mat Burtul ! », d’après la nouvelle de Jeff Fulup et plusieurs expériences de doublage en breton.

Le réalisateur
Je suis réalisateur pour la fiction et le documentaire depuis plus de dix ans. Ces deux approches du cinéma sont, à mon avis, complémentaires tant il y a nécessité à faire entrer le réel dans la fiction pour la rendre vivante et crédible. Et inversement, les outils de la mise en scène et de la dramaturgie au service du documentaire m’engagent à donner au spectateur une interprétation du réel qui n’est pas forcément la vérité, mais ma vérité.
Sur FIN AR BED, j’avais d’abord envie de rester proche de mes personnages pour raconter l’histoire de ce trio. Dès lors, il m’a semblé cohérent de privilégier des cadres serrés sur les acteurs pour mieux saisir leur trajectoire émotionnelle.
Je suis réalisateur pour la fiction et le documentaire depuis plus de dix ans. Ces deux approches du cinéma sont, à mon avis, complémentaires tant il y a nécessité à faire entrer le réel dans la fiction pour la rendre vivante et crédible. Et inversement, les outils de la mise en scène et de la dramaturgie au service du documentaire m’engagent à donner au spectateur une interprétation du réel qui n’est pas forcément la vérité, mais ma vérité.
Sur FIN AR BED, j’avais d’abord envie de rester proche de mes personnages pour raconter l’histoire de ce trio. Dès lors, il m’a semblé cohérent de privilégier des cadres serrés sur les acteurs pour mieux saisir leur trajectoire émotionnelle.
Et puis je voulais saisir la force cinématographique de certains lieux en Bretagne comme les Monts d’Arrée, la rase campagne du Nord-Finistère et ses grandes plages de sable blanc. Plonger mon trio au coeur de cette nature était un véritable souhait de ma part.
Le road-movie est un genre que j’apprécie particulièrement et que j’avais déjà expérimenté. Il se mariait tout à fait à mon histoire. Je voulais que le spectateur soit réellement embarqué dans cette série.
Mon approche artistique a aussi été liée aux différents styles que je souhaitais aborder : le thriller, le drame social et le fantastique. Je me suis amusé à piocher dans ces différents codes. Réaliser cette série est selon moi, un bon exercice de style !
Filmographie sélective
- La folle énergie d’un chef – documentaire 52′ (2014)
- Dans avec la gravité – documentaire 52′ (2013-14)
- Canada – court-métrage (2013)
- Sortir – court-métrage (2010)
- Mad pell zo – série (2009-10)
- Douche Froide – court-métrage (2002)